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Les partenaires œcuméniques exhortent les gouvernements à agir pour prévenir la fistule obstétricale

Dans le cadre des débats de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur les droits humains et la fistule obstétricale, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et ses partenaires œcuméniques ont appelé les gouvernements à porter une plus grande attention à la prévention de la fistule obstétricale dans leurs politiques, leurs plans stratégiques et leurs budgets.

Bien que des millions de personnes risquent la famine avec le COVID-19, il est possible de vaincre la faim selon un responsable d’Église africaine

Alors que les Nations Unies tirent la sonnette d’alarme face aux millions de personnes poussées par la pandémie de coronavirus au bord d’une «famine généralisée aux proportions bibliques», un haut responsable chrétien en Afrique insiste sur la possibilité de vaincre la faim, sous le joug de laquelle se trouvent de nombreuses personnes sur le continent.

Le COE et ses partenaires préparent la Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine

Le Conseil œcuménique des Églises, l’Alliance évangélique mondiale et la Conférence des Églises de toute l’Afrique, ainsi que des organisations humanitaires chrétiennes, des réseaux d’Églises, des organisations ecclésiales et leurs partenaires encouragent les congrégations religieuses du monde entier à célébrer, le 10 juin prochain, la deuxième «Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine».

«Il est temps d’agir!» – «Rendons ce virus impuissant!»

Marchant dans les rues de Nairobi pour la Journée de l’enfant africain 2017, les responsables religieux de différentes communautés de foi du Kenya se sont exprimés publiquement en faveur des droits des enfants et des adolescent-e-s vivant avec le VIH. Ils étaient accompagnés de centaines de personnes, notamment des élèves de six écoles de Nairobi et des dizaines de jeunes bénévoles.

Kenya: un rassemblement pour éliminer la stigmatisation liée au VIH à travers l’amour et le dialogue

Plus de 120 responsables religieux et spirituels, travailleurs sanitaires et jeunes gens se sont réunis les 7 et 8 février derniers pour mettre l’accent sur le renforcement du combat mené contre la stigmatisation au titre de la riposte au VIH au Kenya. Des représentants du gouvernement kényan, d’organisations de la société civile, de réseaux de personnes vivant avec le VIH, ainsi que des partenaires de développement se sont joints à eux dans le cadre d’un événement à Nairobi. Axée sur le thème «Faith on the Fast Track: Eliminating Stigma and Discrimination Through Love and Dialogue» (La foi pour accélérer la riposte: éliminer la stigmatisation et la discrimination par l’amour et le dialogue), la réunion visait à évaluer l’impact de la méthodologie du «Framework for Dialogue» (Cadre pour le dialogue), une initiative mise en œuvre dans plusieurs pays depuis 2013. L’événement était organisé par INERELA+ Kenya (le Réseau international des responsables religieux vivant avec ou affectés par le VIH, Kenya) et l’EAA-COE (l’Alliance œcuménique «agir ensemble» du Conseil œcuménique des Églises), avec notamment l’appui du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).

Kenya: la voix des communautés religieuses est essentielle pour vaincre le VIH

«Existe-t-il un moyen d’agir contre la stigmatisation et la discrimination au sein des communautés religieuses, pour montrer l’exemple, afin que celles et ceux qui sont là pour rendre service et prodiguer des soins ne stigmatisent pas les personnes malades? Car lorsqu’il s’agit de lutter contre le VIH et le sida, peu importe que l’on soit chrétien ou musulman, femme ou homme, nous devons agir en tant qu’êtres humains.»